Bonjour la fine équipe du raffut alpin,
voici le débrief du match contre le B.O
La semaine dernière, la défaite à Aix-en-Provence, avait laissé beaucoup de regrets chez le staff et les joueurs du duo Nadau-Pézery. Pas dominés fondamentalement par le rugby proposé par les Provençaux, mais trop indisciplinés et imprécis, les Grenoblois n’avaient pas été en mesure de ramener un bon résultat des Bouches-du-Rhône, malgré l’envie. Comme le rappelle Nicolas Nadau dans l’interview accordée à Nicolas Zanardi, à la veille de la rencontre contre le Biarritz Olympique : « Les pénalités sifflées y étaient, on a terminé à 17 pénalités contre 9 (Personnellement, des pénalités, j’en avais relevé 19) […], mais ce n’est pas ça aujourd’hui qui nous a mis en difficulté. C’est d’abord nous, dans l’exigence individuelle qu’on doit avoir. Parfois, on est un peu laxiste, un peu suffisant, ce qui fait qu’on doit changer ce mode de fonctionnement individuellement pour apporter le plus possible à l’équipe. » De plus, Nicolas rappelle aussi que cette suffisance avait été constatée lors des matchs contre Montauban et Nice même si son équipe avait gagné avec le bonus. Ainsi pour préparer le match contre les Basques du Biarritz Olympique, le staff avait mis l’accent sur les exigences, sur les ingrédients à mettre dans un match, et surtout ne pas oublier qu’au match aller, les Biarrots avaient puni les Isérois qui avaient été particulièrement indisciplinés (18 fautes et deux cartons jaunes) et maladroits, encaissant trois essais en dix minutes de jeu en seconde période. Donc avant la rencontre de vendredi soir, le mot d’ordre de l’entraîneur des trois-quarts grenoblois était : « On doit se remettre au travail et retrouver de l’exigence individuelle et collective. » Nicolas Nadau sait que son équipe devra retrouver les vertus de l’exigence face à une équipe de Biarritz qui veut stopper la spirale négative des trois revers consécutifs.
Nouvelle faute biarrote, nouvelle pénaltouche. Lilian Rossi, impeccable dans ses lancers et dans la bataille des rucks, trouve son sauteur, le maul progresse à la vitesse de la lumière, Ryno Pieterse, excellent, s’écroule dans l’en-but avec le ballon sous le bras ! (31e) Et de trois, bonus offensif provisoire (19-3). Les Basques poursuivent leur indiscipline, le deuxième ligne, Adrian Motoc écope d’un nouveau carton jaune, synonyme de carton rouge ! (Huitième pénalité pour le B.O) A treize contre quinze, cela devient de plus en plus compliqué, d’autant plus que les Grenoblois mettent toujours autant de rythme et de vitesse dans leur jeu, avec des arrières bien en jambe. Nouvelle faute biarrote, nouvelle pénaltouche bien exécutée, le maul est écroulé, le ballon ressort vite, le jeu est déployé sur le côté opposé, un trou béant dans la défense se forme avec un surnombre en bout de ligne. Wilfried Hulleu hérite du ballon et tranquillement, sans opposition, le dépose derrière la ligne ! (36e, 26-3). Et de quatre pour Grenoble et dixième essai pour l’ailier grenoblois de la saison. Cela devient trop facile pour les hommes du duo Nadau-Pézery qui regagnent les vestiaires avec le sourire avec le sentiment du devoir accompli avec sérieux, pragmatisme ne commettant que 6 fautes contre dix contre le B.O assorties de trois cartons ! Si la semaine dernière, la touche grenobloise avait des loupées, cette fois-ci, c’est un quasi sans faute : un seul ballon perdu sur les onze lancers, et trois contres sur les neuf lancers biarrots. Premier acte sérieux avec beaucoup de jeu, du réalisme (malgré deux loupés dans la zone de marque) et globalement peu de fautes. Grenoble présente un tout autre visage par rapport à la semaine dernière.
Les statistiques de la première mi-temps :
Touches (Grenoble) :11, un ballon perdu.
Touche (BO) : 9, 4 ballons perdus.
Mêlée (Grenoble) : 3, aucune faute.
Mêlée (BO) :3, une pénalité et un bras cassé contre Grenoble.
Pénalité : 6 contre Grenoble, 10 contre Biarritz et trois cartons jaunes dont deux transformés en rouge).
Les Grenoblois, toujours animés d’une envie de jouer, monopolisent le ballon, occupent bien le camp de leur adversaire et se créent deux bonnes séquences (43e ,47e) à l’entrée des 22m sans aller plus loin. Les intentions de la première période sont bien réelles mais la réussite est moins présente. Nouvelle grosse séquence avec une magnifique remise intérieure pour Rasuku, qui franchit une nouvelle fois, mais sa passe va directement dans la tête d’un défenseur ! (49e). Kaminieli Rasuku se rattrape trois minutes plus tard et de quelle manière. Touche pour Grenoble à l’entrée des 22, le ballon circule parfaitement devant la défense basque. Romain Fusier envoie un ballon tellement rapidement sur son arrière intercalé qu’il ne peut pas s’en saisir, le ballon finit sa course dans les mains de l’ailier fidjien lancé comme une fusée, petite feinte de passe, et hop, il enfume son vis-à-vis et termine sa course dans l’en-but ! Triplé pour Kaminieli Rasuku qui fait exploser de joie le Stade des Alpes. Du bord de touche, Sam Davies transforme (52e : 33-3, cinq essais à zéro). Le match est plié, sans doute trop tôt, puisque les Grenoblois vont perdre leur beau jeu collectif. Grisés par cette avance, les Isérois vont progressivement perdre l’exigence qu’ils avaient mis dans leur jeu et vont produire des séquences avec des passes improbables, du hourra rugby, ce que Nicolas Nadau appelle de la suffisance. La défense va se relâcher. Chaque joueur se regarde quand l’arrière biarrot, Kibirige, d’un exploit individuel transverse tout le terrain (70 m) au milieu des Grenoblois incapables de le stopper. (54e :33-10). Puis, l’indiscipline gagne le camp des Dauphinois. Mathis Sarragallet retient un défenseur par le maillot, laissant le champ libre à son ailier Rasaku, qui file à dame pour son quadruplé, qui sera logiquement refusé. S’ensuit une échauffourée sur le bord du terrain. Carton jaune de chaque côté, un pour Mathis, lui qui est plutôt discipliné. Les Grenoblois perdent en précision avec des actions stoppées pour en-avant (58e, 64e, 66e ,67e ,69e ,70e). Le sixième sera fatal, puisqu’il permet aux Biarrots de partir en contre et à l’arrière Kibirige de déposer toute la défense grenobloise, manquant totalement d’agressivité sur les plaquages, puis de terminer derrière les poteaux. Les Grenoblois étaient sur une grosse séquence offensive à 10 m de la ligne, et finalement ils se prennent un essai en contre de 100m ! (71e :33-17) Le bonus offensif ne tient plus qu’à un fil. La fin du match est brouillonne, avec toujours des pertes de balle (72e, 74e,77e) du côté de Grenoble, idem pour Biarritz qui ne tire pas profit des erreurs iséroises. Victoire bonifiée pour Grenoble, 33-17, mais que ce fut laborieux en seconde période avec beaucoup de déchet technique. Est-ce lié à de la suffisance comme le signalait Nicolas Nadau qui expliquerait cette imprécision ? Les joueurs vont bénéficier d’une coupure d’une semaine avant de reprendre avec un périlleux déplacement à Colomiers. Cet intermède permettra d’analyser tout ce qui n’a pas fonctionner et de repartir avec des objectifs d’exigence. On verra si l’équipe aura du caractère avec des matchs à l’extérieur, comme à Colomiers, Dax où il est difficile de s’imposer. En attendant, j’espère que l’équipe aura retrouvé de la discipline et de la précision.
Les statistiques de la deuxième mi-temps :
Touches (Grenoble) :6, aucun ballon perdu.
Touche (BO) : 7, 2 ballons contrés et un bras cassé contre Grenoble.
Mêlée (Grenoble) : 7, une pénalité de chaque côté.
Mêlée (BO) :4, aucune faute.
Pénalité : 8 contre Grenoble et un carton jaune, 6 contre Biarritz et un carton jaune.
Ce que je retiens de ce match :
voici le débrief du match contre le B.O
Bonus et malus
La semaine dernière, la défaite à Aix-en-Provence, avait laissé beaucoup de regrets chez le staff et les joueurs du duo Nadau-Pézery. Pas dominés fondamentalement par le rugby proposé par les Provençaux, mais trop indisciplinés et imprécis, les Grenoblois n’avaient pas été en mesure de ramener un bon résultat des Bouches-du-Rhône, malgré l’envie. Comme le rappelle Nicolas Nadau dans l’interview accordée à Nicolas Zanardi, à la veille de la rencontre contre le Biarritz Olympique : « Les pénalités sifflées y étaient, on a terminé à 17 pénalités contre 9 (Personnellement, des pénalités, j’en avais relevé 19) […], mais ce n’est pas ça aujourd’hui qui nous a mis en difficulté. C’est d’abord nous, dans l’exigence individuelle qu’on doit avoir. Parfois, on est un peu laxiste, un peu suffisant, ce qui fait qu’on doit changer ce mode de fonctionnement individuellement pour apporter le plus possible à l’équipe. » De plus, Nicolas rappelle aussi que cette suffisance avait été constatée lors des matchs contre Montauban et Nice même si son équipe avait gagné avec le bonus. Ainsi pour préparer le match contre les Basques du Biarritz Olympique, le staff avait mis l’accent sur les exigences, sur les ingrédients à mettre dans un match, et surtout ne pas oublier qu’au match aller, les Biarrots avaient puni les Isérois qui avaient été particulièrement indisciplinés (18 fautes et deux cartons jaunes) et maladroits, encaissant trois essais en dix minutes de jeu en seconde période. Donc avant la rencontre de vendredi soir, le mot d’ordre de l’entraîneur des trois-quarts grenoblois était : « On doit se remettre au travail et retrouver de l’exigence individuelle et collective. » Nicolas Nadau sait que son équipe devra retrouver les vertus de l’exigence face à une équipe de Biarritz qui veut stopper la spirale négative des trois revers consécutifs.
Du sérieux et un gros volume de jeu
Dès la première minute, on sent que les Grenoblois veulent appliquer les consignes du staff. Sérieux en défense, Lilian Rossi conteste un ballon au sol, le récupère et l’expédie vers les attaquants qui se lancent dans un mouvement fait de passes debout avec de bons relais. Un en-avant annule la belle offensive. Ce n’est que partie remise. Sur le second lancement de jeu après une belle touche, Ryno Pieterse crée un point d’appui, le ballon sort vite, Sam Davies adresse une passe à Gerswin Mouton, qui très bien lancé, prend l’intervalle, puis relais à Wilfried Hulleu, qui remet intérieur à Kaminieli Rasaku, le ballon circule à cent à l’heure, c’est magnifique. Stoppé à un mètre de la ligne, un regroupement se forme, Kaminieli Rasaku voit un trou de souris et dépose le ballon sur la ligne ! Trois minutes de jeu, premier essai des Rouge et Bleu, cela ne pouvait pas mieux démarrer (3e :7-0 !) Tout est maîtrisé. Les Grenoblois sont sérieux et très appliqués. La défense est propre, agressive dans les rucks. Le jeu s’équilibre quelque peu, les Biarrots ont la possession, mais n’inquiètent pas la défense iséroise bien en place (trois ballons contrés en touche). A la suite d’une pénalité biarrote, les coéquipiers du capitaine Thomas Lainault choisissent la touche. Prise à deux mains, un maul dynamique est mis en route, les Biarrots commettent faute sur faute (carton jaune pour Motoc,un deuxième ligne) pour enrayer le maul, mais rien n’y fait sauf de l’écrouler à un mètre de la ligne, Barnabé Couilloud ressort vite le ballon et l’adresse à son ailier, Rasaku tout seul dans son couloir, qui termine immédiatement dans l’en-but ! et de deux pour les Grenoblois et pour l’ailier fidjien, euphorique. Du bord de touche, Sam Davies transforme (19e ;14-3). Deux entrées dans les 22m, deux essais, quelle efficacité ! Ceci dit, quelques minutes plus tard (27e), alors que les hommes de Nicolas Nadau jouent à 15 contre 13 (deuxième carton jaune contre les Biarrots dépassés par les assauts de leur adversaire), les Grenoblois entrent de nouveau dans la zone de marque, mais commettent un en-avant (passe mal assurée de Barnabé Couilloud qui tergiverse et donne le ballon à son pilier gauche, surpris par la passe, Zack laisse tomber le ballon).Nouvelle faute biarrote, nouvelle pénaltouche. Lilian Rossi, impeccable dans ses lancers et dans la bataille des rucks, trouve son sauteur, le maul progresse à la vitesse de la lumière, Ryno Pieterse, excellent, s’écroule dans l’en-but avec le ballon sous le bras ! (31e) Et de trois, bonus offensif provisoire (19-3). Les Basques poursuivent leur indiscipline, le deuxième ligne, Adrian Motoc écope d’un nouveau carton jaune, synonyme de carton rouge ! (Huitième pénalité pour le B.O) A treize contre quinze, cela devient de plus en plus compliqué, d’autant plus que les Grenoblois mettent toujours autant de rythme et de vitesse dans leur jeu, avec des arrières bien en jambe. Nouvelle faute biarrote, nouvelle pénaltouche bien exécutée, le maul est écroulé, le ballon ressort vite, le jeu est déployé sur le côté opposé, un trou béant dans la défense se forme avec un surnombre en bout de ligne. Wilfried Hulleu hérite du ballon et tranquillement, sans opposition, le dépose derrière la ligne ! (36e, 26-3). Et de quatre pour Grenoble et dixième essai pour l’ailier grenoblois de la saison. Cela devient trop facile pour les hommes du duo Nadau-Pézery qui regagnent les vestiaires avec le sourire avec le sentiment du devoir accompli avec sérieux, pragmatisme ne commettant que 6 fautes contre dix contre le B.O assorties de trois cartons ! Si la semaine dernière, la touche grenobloise avait des loupées, cette fois-ci, c’est un quasi sans faute : un seul ballon perdu sur les onze lancers, et trois contres sur les neuf lancers biarrots. Premier acte sérieux avec beaucoup de jeu, du réalisme (malgré deux loupés dans la zone de marque) et globalement peu de fautes. Grenoble présente un tout autre visage par rapport à la semaine dernière.
Les statistiques de la première mi-temps :
Touches (Grenoble) :11, un ballon perdu.
Touche (BO) : 9, 4 ballons perdus.
Mêlée (Grenoble) : 3, aucune faute.
Mêlée (BO) :3, une pénalité et un bras cassé contre Grenoble.
Pénalité : 6 contre Grenoble, 10 contre Biarritz et trois cartons jaunes dont deux transformés en rouge).
La suffisance grenobloise durant le second acte
Quels peuvent être les mots des entraîneurs pour motiver son équipe quand elle domine largement, quatre essais à zéro et qu’elle joue en supériorité numérique ? « Il reste à trois points et on ne prend pas d’essais », tels sont les propos du Romain Fusier dans le vestiaire.Les Grenoblois, toujours animés d’une envie de jouer, monopolisent le ballon, occupent bien le camp de leur adversaire et se créent deux bonnes séquences (43e ,47e) à l’entrée des 22m sans aller plus loin. Les intentions de la première période sont bien réelles mais la réussite est moins présente. Nouvelle grosse séquence avec une magnifique remise intérieure pour Rasuku, qui franchit une nouvelle fois, mais sa passe va directement dans la tête d’un défenseur ! (49e). Kaminieli Rasuku se rattrape trois minutes plus tard et de quelle manière. Touche pour Grenoble à l’entrée des 22, le ballon circule parfaitement devant la défense basque. Romain Fusier envoie un ballon tellement rapidement sur son arrière intercalé qu’il ne peut pas s’en saisir, le ballon finit sa course dans les mains de l’ailier fidjien lancé comme une fusée, petite feinte de passe, et hop, il enfume son vis-à-vis et termine sa course dans l’en-but ! Triplé pour Kaminieli Rasuku qui fait exploser de joie le Stade des Alpes. Du bord de touche, Sam Davies transforme (52e : 33-3, cinq essais à zéro). Le match est plié, sans doute trop tôt, puisque les Grenoblois vont perdre leur beau jeu collectif. Grisés par cette avance, les Isérois vont progressivement perdre l’exigence qu’ils avaient mis dans leur jeu et vont produire des séquences avec des passes improbables, du hourra rugby, ce que Nicolas Nadau appelle de la suffisance. La défense va se relâcher. Chaque joueur se regarde quand l’arrière biarrot, Kibirige, d’un exploit individuel transverse tout le terrain (70 m) au milieu des Grenoblois incapables de le stopper. (54e :33-10). Puis, l’indiscipline gagne le camp des Dauphinois. Mathis Sarragallet retient un défenseur par le maillot, laissant le champ libre à son ailier Rasaku, qui file à dame pour son quadruplé, qui sera logiquement refusé. S’ensuit une échauffourée sur le bord du terrain. Carton jaune de chaque côté, un pour Mathis, lui qui est plutôt discipliné. Les Grenoblois perdent en précision avec des actions stoppées pour en-avant (58e, 64e, 66e ,67e ,69e ,70e). Le sixième sera fatal, puisqu’il permet aux Biarrots de partir en contre et à l’arrière Kibirige de déposer toute la défense grenobloise, manquant totalement d’agressivité sur les plaquages, puis de terminer derrière les poteaux. Les Grenoblois étaient sur une grosse séquence offensive à 10 m de la ligne, et finalement ils se prennent un essai en contre de 100m ! (71e :33-17) Le bonus offensif ne tient plus qu’à un fil. La fin du match est brouillonne, avec toujours des pertes de balle (72e, 74e,77e) du côté de Grenoble, idem pour Biarritz qui ne tire pas profit des erreurs iséroises. Victoire bonifiée pour Grenoble, 33-17, mais que ce fut laborieux en seconde période avec beaucoup de déchet technique. Est-ce lié à de la suffisance comme le signalait Nicolas Nadau qui expliquerait cette imprécision ? Les joueurs vont bénéficier d’une coupure d’une semaine avant de reprendre avec un périlleux déplacement à Colomiers. Cet intermède permettra d’analyser tout ce qui n’a pas fonctionner et de repartir avec des objectifs d’exigence. On verra si l’équipe aura du caractère avec des matchs à l’extérieur, comme à Colomiers, Dax où il est difficile de s’imposer. En attendant, j’espère que l’équipe aura retrouvé de la discipline et de la précision.
Les statistiques de la deuxième mi-temps :
Touches (Grenoble) :6, aucun ballon perdu.
Touche (BO) : 7, 2 ballons contrés et un bras cassé contre Grenoble.
Mêlée (Grenoble) : 7, une pénalité de chaque côté.
Mêlée (BO) :4, aucune faute.
Pénalité : 8 contre Grenoble et un carton jaune, 6 contre Biarritz et un carton jaune.
Ce que je retiens de ce match :
- Les cinq points de la victoire, qui conjugués aux défaites de Provence, de Brive et Béziers, permettent aux Grenoblois d’avoir 10 points d’avance sur le second.
- Des belles séquences offensives : 5 essais.
- Du déchet technique, de l’indiscipline (encore 14 pénalités) avec des fautes stupides.
- Manque de constance sur la durée, le banc n’a pas eu l’effet escompté comme on le constatait durant les vingt dernières minutes.
- Grenoble a perdu la deuxième mi-temps (2 essais à un) avec une défense trop relâchée.
Photos : Karine Valentin
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