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Debrief 24/25 FCG / Agen : le débrief

El_Presidente

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25 Mars 2021
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Grenoble
37.10 le soir



Le FCG avait rendez-vous avec son public après 3 semaines sans le voir. 3 semaines au cours desquelles les grenoblois sont allés cherchés des points loin de leurs bases : 4 sur les bords de la méditerranées à Béziers et 1 dans la cuvette de Sapiac du côté de Montauban surprenant leader de la ProD2.

Les grenoblois voulaient donner encore plus sur leur pelouse du stade des Alpes et rester invaincus sur l’herbe hybride de l’avenue Jean Pain. Une avenue qu’ils aimeraient transformer en autoroute vers les sommets.

Face à des agenais venus avec une équipe remaniée mis pas en victime expiatoire au lendemain de la fête d’Halloween. Pas de déguisement, bas les masques sur la pelouse : 2 équipes qui voulaient tout donner.

Le FCG a donné et vite : 3 minutes après le début de la rencontre, Mathis Sarragallet pointait déjà dans l’en-but agenais. Après une action en 1ère main, Couilloud donnait à Trouilloud bien lancé qui remettait intérieur pour le talonneur grenoblois et 5 points étaient inscrits au planchot. Palmier transformait et le FCG menait rapidement. Dans le même temps, les grenoblois perdaient leur n°8 Muarua blessé au genou et contraint de laisser sa place à l’inusable Madeira. Le FCG dominait largement et après que Palmier eu ajouté 3 points sur pénalité, Phillips marquait en force le 2ème essai grenoblois bien servis par Couilloud à 5 mètres de la ligne. 17-3 après la transformation et 13 minutes à peine de joué. Entame parfaite des joueurs du duo Nadeau/Pezery.

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A partir de là, les 8500 spectateurs vont assister à un match vivant mais stérile. Des attaques plates sans perforation de la part du FCG et une défense solide de la part d’Agen. Palmier va donner 3 piints de plus à son équipe juste avant la mi-temps et permettre à Grenoble de rentrer au vestiaire en menant 20 à 3.

Le FCG avait tout pour réaliser un match plein mais un manque de tranchant les empêcher de marquer les points qu’ils auraient dû au cours de ce 1er acte.

La 2ème mi-temps était du même acabit sur les premières minutes : le FCG dominait mais restait muet. Le carton jaune sortit par Monsieur Bru à l’encontre du capitaine d’Agen Olmstead était l’occasion idéale pour le FCG d’enfoncer le clou. C’est pourtant tout le contraire qui va se produire. Incapable de profiter de leur supériorité numérique, les grenoblois vont encaisser un essai de leurs adversaires du soir : Guion voyait son essai validé par l’arbitre après un contrôle vidéo. Monsieur Bachir, l’arbitre vidéo, confirmant que l’agenais avait bien aplati le ballon dans l’en-but. 20 à 10 à la 56ème et une équipe d’Agen à portée d’un FCG qui ne parvenait pas à faire la différence.

Une rencontre qui laissait peu de place aux envolées malgré les efforts du FCG. Il fallut attendre, comme souvent avec le FCG, la fin de match pour que la différence soit faite. Sous la houlette du banc ces remplaçants, les grenoblois vont mettre à mal les agenais. Mazzoleni n’avait pas d’autre choix que de couper une action dangereuse des ¾ grenoblois en commettant un en-avant volontaire. Carton jaune et une nouvelle supériorité numérique pour le FCG. Maladroit et peu inspirés, les grenoblois n’arrivaient toujours pas à faire la différence. Après une pénaltouche, le maul grenoblois croyait franchir la ligne. Ce n’était pas l’avis de Monsieur Bru qui demandait toutefois l’appui de la vidéo sur l’action. L’ancien grenoblois, Franck Pourteau, était sanctionné d’un carton jaune pour avoir écroulé le maul du FCG. Double sanction puisque c’est un essai de pénalité qui était accordé aux grenoblois sur cette même action. 27 à 10 à un essai du BO pour le FCG.

Agen n’abdiquait pas et se rapprochait de la ligne d’en-but grenoblois. Le ballon était récupéré par le défense grenoblois et Farnoux, entré en jeu quelques minutes auparavant, dégagé loin son camp. Un dégagement qui mettait à mal l’arrière agenais piégé par le rebond et qui permettait à Hulleu de se saisir de la balle aux 50 mètres. Le grenoblois avait un boulevard devant lui mais il était repris à la course à 1 mètre de la ligne. Il libérait instantanément son ballon pour Farnoux qui avait suivi et qui marquait l’essai du bonus pour le FCG. Un essai de 90 mètres et un SDA qui se levait, enfin, pour acclamer son équipe. Palmier ne transformait pas. 32 à 10 (74ème). Comme souvent au SDA, le FCG était irrésistible une fois en confiance. Trouilloud perçait après une chevauchée fantastique de Richard Hardwick, énorme hier soir. L’arrière replacé à l’aile après l’entrée de Farnoux servait son compère justement pour un doublé qui scellait le score. Même si Palmier loupait la transformation, le FCG venait de conclure 10 minutes productives au tableau d’affichage et par la même empocher 5 points très importants au classement.

37 à 10 et un score final qui reflétait bien la montée en température des grenoblois au fil du match.

Le FCG a mis du temps avant de mettre a mal son adversaire. La faute à des actions mal terminées et à une incapacité à déchirer le rideau adverse. Grenoble est pourtant bien présent au classement avec une 1ère place qu’il partage avec Montauban et Biarritz. Une 1ère place « anecdotique » pour Julien Farnoux qui voulait surtout retenir que le FCG est solide et gagne ses matchs à domicile.

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Le déplacement à Oyonnax, mal en point au classement (11ème) sera une rencontre difficile à négocier avec les absences des 3 internationaux géorgiens et les 2 portugais, conjugué aux probables absences de Muarua (genoux) et Laynault (main) sortis en cours de match face à Agen.

Une des forces du FCG made in 24/25 c’est son groupe et sa capacité à interchanger ses joueurs sans en pâtir. Ce sera une obligation sur la pelouse de Charles Mathon, vendredi prochain.



Les + :

- Richard Harwick. Le namibien rapidement repositionné en numéro 8 et donné l’impulsion sur cette rencontre : grattages, percussions et franchissements. C’est l’homme du match

- La bonne entrée de julien Farnoux qui valide le réveil de son équipe

Les - :

- les blessures de Muarua et Laynault, voire celle de Hulleur touché à la cheville en 1ère mi-temps

- l’incapacité du FCG à franchir dans le jeu. Si le 1er essai de Sarragallet et un modèle d’exécution, dans le jeu, Grenoble a du mal à transpercer ses adversaires

- le manque de constance : encore une fois, le FCG a eu un « trou » entre la 30ème et la 65 minutes. Si la défense, à l’image de Fusier, a été très efficace, l’attaque a été en difficulté. Il y a du progrès, c’est une très bonne chose mais attention à ce manque de tenue sur un match entier.
 
Dernière édition:
Merci presidente pour ce débrief.
Ça devient inquiétant cette infirmerie...
J'espère qu'il y aura des retours la semaine prochaine car on devient un peu juste derrière, notamment au centre, et presque à poil en deuxième ligne...
 
Comme on a aucune info sur les blessés, c'est compliqué de se projeter.
Au centre, on sait que Hulleu et Mouton peuvent y jouer. Avec Rasaku, Cros et H. Trouilloud voire Farnoux on a de quoi faire.
En 2ème ligne, c'est plus problématique : Ployet et Phillips sont les seuls certains d'être valides ou présents la semaine prochaine.
Il va falloir faire monter des jeunes
 
J'ai un doute sur Hulleu qui a terminé le match légèrement blessé et Mouton n'a pas l'air encore au top de sa forme, il a pris des crampes assez tôt dans le match.
Peut être retour d'Escura...
 
J'ai un doute sur Hulleu qui a terminé le match légèrement blessé et Mouton n'a pas l'air encore au top de sa forme, il a pris des crampes assez tôt dans le match.
Peut être retour d'Escura...
Pour Hulleu, Farnoux a parlé d'une blessure à la cheville en 1ère mi-temps.
Pour Mouton, j'ai du mal à comprendre comment on peut avoir des crampes si tôt dans un match
 
Oui ça m'a bien étonné... A ce moment de la saison c'est quand même assez surprenant.
Est ce qu'il manque encore de rythme?
Ceci dit j'ai aussi vu un agenais s'étirer au même moment.
 
Il a peu joué : titulaire à Nevers puis remplaçant contre Valence et titulaire à Montauban et contre Agen. Ça fait peu.
Côté Agen il me semble que c'était le 1er match pour certains d'entre eux.
C'est peut être ça
 
Et aussi il me semble qu'il a beaucoup joué depuis Valence, il a fait 80 minutes à chaque match. J'étais d'ailleurs surpris qu'il ne soit pas au repos contre Agen.
 
bonjour la team du raffut ,

Après l'excellent débrief du président, voici le mien




Bonus avec les tripes



Ah les Grenoble-Agen, des matchs où il y a toujours une forte intensité dans l’engagement, une forte débauche d’énergie, et très souvent, des matchs spectaculaires avec beaucoup de jeu où le ballon circule beaucoup, et forcément beaucoup d’essais. Pour cette affiche de la neuvième journée, ce ne sont pas moins de six essais qui ont été marqués devant un public grenoblois qui tarde encore à venir en masse au Stade des Alpes. Ces deux clubs historiques du rugby de l’Hexagone sont à la recherche depuis des années d’un retour vers l’élite. Pas à pas ces deux clubs sont dans la reconstruction. Sans parler de budget, chacun des deux clubs essaye de reconstruire une équipe ambitieuse, compétitive, capable de produire un rugby de haut niveau, fait de vitesse, de beaucoup de mouvements. A la veille de cette rencontre, l’entraîneur des avants grenoblois, Patrick Pézery est bien conscient que son groupe peine encore à produire un rugby complet sur la totalité des rencontres. L’état d’esprit et l’engagement sont bien présents, mais il y a encore beaucoup de détails à corriger. Et c’est en se confrontant à de grosses équipes qu’un entraîneur peut évaluer les progrès. Tous les joueurs ont bien conscience qu’il y a pas mal de secteurs à améliorer.



Pragmatisme et réalisme grenoblois

Dès les premières secondes de la partie, les Agenais tentent d’emballer le jeu en déplaçant le ballon. Sur une mêlée grenobloise, les Isérois répondent par une très bonne séquence de presque deux minutes poussant les Agenais à dégager en touche en catastrophe. Et là, les ami(es), nous allons assister à une superbe combinaison à la sortie du ballon de l’alignement avec une double remise intérieure : Thibault Martel pour Wilfried Hulleu qui perce, puis qui redonne intérieur pour Mathis Sarragallet parfaitement lancé, qui termine à pleine course dans l’en-but ! Magnifique lancement. C’est propre, c’est parfaitement réalisé. (5ième, 7-0) Première occasion, premier essai. Et ce n’est pas fini. Après une pénalité de chaque côté, Grenoble se retrouve dans le camp de son adversaire après avoir obtenu une pénalité en mêlée fermée. De nouveau une très belle combinaison avec un départ petit côté, le jeu rebondit sur l’autre aile, puis repique intérieur. Bien lancé à 10 m de la ligne, Pierce Philipps, alerte son demi- de mêlée, qui lui transmet l’offrande. Le géant deuxième ligne transperce le rideau défensif agenais en cassant deux plaquages et s’écroule derrière la ligne ! Deuxième occasion, deuxième essai. (12ième , 17-3) En termes d’efficacité, Grenoble est à 100 %, on ne peut pas faire mieux ! En tribune, tout le monde autour de moi est comblé par un tel démarrage et surtout, par la justesse du rugby pratiqué. Tous les joueurs jouent juste, récitent dans le bon timing ce qui a été travaillé à l’entraînement. Au micro de Canal+, Nicolas Nadau est enchanté « toute la semaine, on s’était promis de dynamiser, notamment sur les entames de match, on était en difficulté sur les 60 premières minutes à domicile. Maintenant on a enclenché et il faut garder cette dynamique. » Malheureusement, cette dynamique va s’étioler au fil du temps.



Domination stérile et maladresses


Sur une belle séquence offensive(15ième), Marc Palmier prend l’initiative d’un petit coup de pied par-dessus la défense, mais Marc ne récupère pas le ballon. Contre-attaque des Agenais qui mettent à mal la défense grenobloise qui loupe des plaquages. Gerswin Mouton rattrape in extrémis l’arrière lot-et -garonnais qui filait à dame. A partir de ce moment, le manque de réussite et les maladresses vont marquer le jeu des Grenoblois malgré les bonnes intentions (ballon volé en touche (17ième), en-avant à la sortie d’une très bonne mêlée à 5 m de la ligne (25ième), pénalité en mêlée sur introduction Grenoble(29ième), perte du ballon à un mètre de la ligne après un très bon lancement de jeu (33ième), deux pénalités sur perte d’appui dans un jeu au sol). De plus, il faut ajouter un choix quelque étrange de la part du capitaine de ne pas prendre les points à la sirène, ce qui aurait permis de faire souffler les joueurs tout en prenant trois points faciles. Le choix a été d’aller en touche (contre l’avis du banc), ce qui demande un surplus d’énergie dans une mi-temps qui a été bien rythmée. Malheureusement, le lancer n’est pas droit. L’arbitre renvoie les trente acteurs aux vestiaires sur un score de 20-3 en faveur des Grenoblois qui se sont bien payés durant le premier quart d’heure et nettement moins par la suite. Le point positif aura été la défense iséroise qui n’a rien lâché, qui a su contenir les assauts agenais sans se mettre dans le rouge.

Les statistiques de la première mi-temps :

Touches (Grenoble) :6, deux ballons perdus.

Touche (Agen) : 7, un ballon perdu.

Mêlée (Grenoble) : 5, une pénalité de chaque côté.

Mêlée (Agen) :1, un bras cassé contre Grenoble.

Pénalité : 6 contre Grenoble et 6 contre Agen.



Après la pause, le scénario va rester le même que celui de la deuxième partie de la première période. Grenoble tente beaucoup mais manque de réussite, commet des maladresses et effectue des mauvais choix stratégiques. Rien à voir avec l’efficacité du premier quart d’heure. A la 44ième, les hommes de Nadau-Pézery se créent une monumentale occasion. Après plusieurs temps de jeu dans la zone des 5m, Richard Hardwick (auteur d’un très gros match) ne peut aplatir au moment où il franchit la ligne. Les Agenais se retrouvent en infériorité numérique. Pénaltouche à 5 m pour Grenoble. Le maul démarre bien, mais le ballon se fait coffrer. Pourquoi ne pas avoir écarter le ballon ? En étant en supériorité numérique, un espace allait être crée pour Grenoble en bout ligne. Et aussi paradoxal que cela puisse paraître, c’est Agen, qui, sur le peu de ballon qu’ils possèdent vont réussir à marquer. (54ième, 20-10). Pour la première fois que les Lot-et-Garonnais entraient dans la zone de marque, ils scorent immédiatement. A la vidéo, la validation de l’essai n’est pas si évidente que cela. Le staff grenoblois sent que son équipe perd pied et fait rentrer les finisseurs



Un banc bénéfique pour une fin en apothéose

Sur un ballon de récupération, la contre-attaque qui s’amorce se termine par un jeu au pied alors qu’il y avait un surnombre (6 contre 3, 61ième) à exploiter sur les extérieurs. Pire, le jeu au pied est trop fort et le ballon finit en ballon mort ! Les Grenoblois perdent quelque peu leur lucidité, perdent la patience. Nicolas Nadau regrette le manque d’ambition de ses joueurs, qui rendent trop souvent le ballon au pied, qui ne jouent pas assez dans les espaces. En faisant rentrer Eric Escande, Julien Farnoux, Max Clément, il espère que la donne va changer. Canal +, rappelle que les Grenoblois sont l’équipe la plus performante du championnat et qui marque le plus dans le money time. L’apport des finisseurs va être salutaire. Tout va se décanter dans les douze dernières minutes. Tout part d’une grosse séquence offensive à la suite d’un bon ballon digéré par la mêlée grenobloise. Les Agenais se mettent à la faute et écope d’un carton jaune. Malgré encore un ballon coffré sur maul, les Grenoblois insistent toujours en touche et ne prennent pas les points au pied. Choix, enfin payant à la 72ième. En effet, sur un maul dynamique, les Agenais écroulent l’édifice ; essai de pénalité et nouveau carton jaune ! (27-10). Malgré leur infériorité numérique, les Lot-et-Garonnais se lancent dans une offensive. Ils perdent le ballon. Marc Palmier le dégage, le rebond trombe l’arrière agenais. Wilfried Hulleu surgit, se saisit du ballon en pleine course et se lance dans une course de 80 m tout en résistant au retour du dernier défenseur. Plaqué à moins d’un mètre de la ligne, Wilfried libère son ballon, Julien Farnoux qui a bien suivi, le relève et marque ! (32-10, match plié et bonus provisoire pour Grenoble). Une minute plus tard, nouvelle contre-attaque des Grenoblois qui remontent tout le terrain ballon en main (14 phases de jeu sur presque deux minutes). Les temps de jeu se multiplient, les espaces se créent de plus en plus en raison de leur supériorité numérique. Sur la dernière phase, Romain Fusier (très en jambe) passe les bras et transmet à hauteur à Julien Farnoux qui termine une seconde fois dans l’en-but au pied de la tribune des supporters qui explosent de joie ! 37-10. Fin du match. Victoire bonifiée des Grenoblois, qui se sont payés de leurs efforts dans les derniers minutes après avoir déjoué pendant une bonne trentaine de minutes. Bonus difficile mais qui permet à Grenoble de rejoindre Biarritz et Montauban à la première place du classement !

Les statistiques de la deuxième mi-temps :

Touches (Grenoble) :9, 100% !

Touche (Agen) : 6, un ballon perdu.

Mêlée (Grenoble) : 4, une pénalité et un bras cassé contre Grenoble.

Mêlée (Agen) :4, aucune faute.

Pénalité : 3 contre Grenoble et 5 contre Agen et trois cartons jaunes.



Prochain match à Oyonnax ! Aie, aie, encore un très gros match. Il manquera des internationaux du côté de Grenoble.
 
Je suis admiratif pour vos débriefs, car nous avons droit à deux visions d'un même évenement et c'est parfait, continuez vous êtes super.
 
Des progrès et de l'inconstance si je peux me permettre. Une nouvelle fois s'ils sont capables de jouer 80 minutes, le mettra à mal de nombreuses écuries de PRO D2. Pour moi, ils vont passer au révélateur contre OYO même si ces derniers ne brillent pas actuellement. Merci messieurs pour ces 2 bons debriefs. 🤗
 
Des progrès et de l'inconstance si je peux me permettre. Une nouvelle fois s'ils sont capables de jouer 80 minutes, le mettra à mal de nombreuses écuries de PRO D2. Pour moi, ils vont passer au révélateur contre OYO même si ces derniers ne brillent pas actuellement. Merci messieurs pour ces 2 bons debriefs. 🤗
oui et non, effectivement, les actions n'ont pas toutes abouti, mais durant ce que nous appelons un temps faible, ils n'ont pas pris un seul essai.
 
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