6 matchs joués par le FCG : 3 victoires et 3 défaites. Toutes les victoires l'ont été à domicile, là où les grenoblois tiennent à se faire respecter.
3 matchs différents les uns des autres :
sur les 2 premiers, face respectivement à Mont de Marsan et Biarritz, on a vu un FCG avoir du mal a débuter les rencontre avant de prendre le pas sur ses adversaires. Avec difficultés face à Mont de Marsan et un peu plus largement face à Biarritz. Dans les 2 cas, le FCG a eu du mal : mal réglé en conquête (la touche a été mauvaise on peut le dire) et sur courant alternatif derrière : capable de très bons mouvements comme de s'embrouiller dans la construction des actions
Mercredi face à Agen, il y a eu du mieux dans l'entame du match : 2 essais en 20 minutes et une prise nette du score. Du mieux aussi en touche : ballons volés et une belle moisson sur nos propres lancés. La mêlée, elle a été moyenne, surtout après la sortie de Régis Montagne qui a fait un excellent match.
Notre ouvreur, Sam Davies, a alterné le très bon : un joli 50/22 et une efficacité totale au pied et le moins bon avec une animation fébrile et des coups de pieds directement en touche ou en ballon mort.
Les 3 matchs à l'extérieur sont eux aussi différents :
face à Aurillac et Colomiers, le FCG a été très moyen dans la conquête et dans son jeu en général et pourtant, les grenoblois ont su rester au contact et titiller leurs adversaires. 2 défaites plutôt frustrantes finalement.
A Dax, les grenoblois ont très mal joué. Et là encore, ils ont trouvés les ressources de glaner 1 point alors qu'ils ont "dégueulé" un grand nombre de ballons.
Balbutiement, bricolage, blessures : voilà les mots que l'on a souvent entendu en ce début de championnat. Mercredi, il y a eu une 2ème mi-temps insipide et ennuyeuse autant pour les joueurs que pour les spectateurs. Nicolas Nadau l'a dit à la fin du match : "les coupures de 15 jours ne sont pas bonnes pour les joueurs. On a pas de rythme. Seul point positif c'est qu'on récupère certains blessés. Mais ce n'est pas suffisant".
Le rythme, la cohésion, la prise en main du plan de jeu tant en attaque qu'en défense, sont les points noirs de cette 1ère partie de saison.
Ajoutez à cela, les blessures, les joueurs en Coupe du Monde (Madeira avec le Portugal et Aptsiauri avec la Géorgie depuis ce mardi) et un nouveau staff, cela nous donne un FCG qui tâtonne mais qui progresse.
Replacé au classement (malgré la décision des -6 points toujours en suspens), les grenoblois font le dos rond, progresse lentement mais surement et ronronne somme toute un peu.
Les recrues sont pour la plupart des satisfactions et amène un plus. Les "leaders" sont toujours au diapason, à l'image d'un Steeve Blanc-Mappaz en version gladiateur lui qui a joué tous les matchs et qui s'est offert le luxe de débloquer le match mercredi contre Agen et des jeunes qui prennent le lead, comme Régis Montagne par exemple.
Tout cela nous fait un FCG qui n'a pas encore, loin de là, retrouvé la carburation de la fin de saison dernière, mais qui nous "intéresse" par son potentiel. Je suis persuadé qu'il y a un groupe et des coachs qui peuvent nous emmener loin (aller oui disons on, après tout les supporters font aussi parti du club).
Le 13 octobre, il y aura un joli défi à relever sur le pelouse du stade Amédée Domenech de Brive : des brivistes en difficultés, qui ont péniblement gagné face à Dax mercredi et qui voudront éviter la crise si jamais ils s'inclinent face au FCG.
Des grenoblois qui justement voudront mettre la tête sous l'eau à un concurrent direct et qui, en ramenant la victoire, pourrait leur permettre de sortir de ces matchs auxquels il manque un brin de folie pour mettre en exergue tout le potentiel de l'équipe.
3 matchs différents les uns des autres :
sur les 2 premiers, face respectivement à Mont de Marsan et Biarritz, on a vu un FCG avoir du mal a débuter les rencontre avant de prendre le pas sur ses adversaires. Avec difficultés face à Mont de Marsan et un peu plus largement face à Biarritz. Dans les 2 cas, le FCG a eu du mal : mal réglé en conquête (la touche a été mauvaise on peut le dire) et sur courant alternatif derrière : capable de très bons mouvements comme de s'embrouiller dans la construction des actions
Mercredi face à Agen, il y a eu du mieux dans l'entame du match : 2 essais en 20 minutes et une prise nette du score. Du mieux aussi en touche : ballons volés et une belle moisson sur nos propres lancés. La mêlée, elle a été moyenne, surtout après la sortie de Régis Montagne qui a fait un excellent match.
Notre ouvreur, Sam Davies, a alterné le très bon : un joli 50/22 et une efficacité totale au pied et le moins bon avec une animation fébrile et des coups de pieds directement en touche ou en ballon mort.
Les 3 matchs à l'extérieur sont eux aussi différents :
face à Aurillac et Colomiers, le FCG a été très moyen dans la conquête et dans son jeu en général et pourtant, les grenoblois ont su rester au contact et titiller leurs adversaires. 2 défaites plutôt frustrantes finalement.
A Dax, les grenoblois ont très mal joué. Et là encore, ils ont trouvés les ressources de glaner 1 point alors qu'ils ont "dégueulé" un grand nombre de ballons.
Balbutiement, bricolage, blessures : voilà les mots que l'on a souvent entendu en ce début de championnat. Mercredi, il y a eu une 2ème mi-temps insipide et ennuyeuse autant pour les joueurs que pour les spectateurs. Nicolas Nadau l'a dit à la fin du match : "les coupures de 15 jours ne sont pas bonnes pour les joueurs. On a pas de rythme. Seul point positif c'est qu'on récupère certains blessés. Mais ce n'est pas suffisant".
Le rythme, la cohésion, la prise en main du plan de jeu tant en attaque qu'en défense, sont les points noirs de cette 1ère partie de saison.
Ajoutez à cela, les blessures, les joueurs en Coupe du Monde (Madeira avec le Portugal et Aptsiauri avec la Géorgie depuis ce mardi) et un nouveau staff, cela nous donne un FCG qui tâtonne mais qui progresse.
Replacé au classement (malgré la décision des -6 points toujours en suspens), les grenoblois font le dos rond, progresse lentement mais surement et ronronne somme toute un peu.
Les recrues sont pour la plupart des satisfactions et amène un plus. Les "leaders" sont toujours au diapason, à l'image d'un Steeve Blanc-Mappaz en version gladiateur lui qui a joué tous les matchs et qui s'est offert le luxe de débloquer le match mercredi contre Agen et des jeunes qui prennent le lead, comme Régis Montagne par exemple.
Tout cela nous fait un FCG qui n'a pas encore, loin de là, retrouvé la carburation de la fin de saison dernière, mais qui nous "intéresse" par son potentiel. Je suis persuadé qu'il y a un groupe et des coachs qui peuvent nous emmener loin (aller oui disons on, après tout les supporters font aussi parti du club).
Le 13 octobre, il y aura un joli défi à relever sur le pelouse du stade Amédée Domenech de Brive : des brivistes en difficultés, qui ont péniblement gagné face à Dax mercredi et qui voudront éviter la crise si jamais ils s'inclinent face au FCG.
Des grenoblois qui justement voudront mettre la tête sous l'eau à un concurrent direct et qui, en ramenant la victoire, pourrait leur permettre de sortir de ces matchs auxquels il manque un brin de folie pour mettre en exergue tout le potentiel de l'équipe.
